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Fan de Fiction
11 février 2007

Prison Break 2x16 : Chicago

Un épisode totalement hétérogène où se dispute le bon au moins bon, et au franchement lourd.

216iMichael, Lincoln, Sara : l’épisode précédent nous avait laissé sur une rencontre très prochaine entre Michael et Sara, on la retrouve descendant d’un train avec les deux frères l’attendant à la gare. On a droit à un petit câlin sympa, un sourire à propos des cheveux, et Lincoln doit se contenter d’un hochement de tête. La semaine dernière, je me demandais comment Michael allait réagir face à Kellerman et Sara, et je suis un peu déçue du résultat : on le plaque contre le mur, on l’empêche de respirer deux secondes, puis on se rend compte qu’il est utile donc on le relâche. Soit. C’est vrai, il est utile, il permet d’avoir un wagon pour eux tous seuls pour se rendre à Chicago, là où se trouve un coffre que la clef de Sara permet d’ouvrir. Et tout le monde sait que quand 4 personnes sont coincées dans un wagon pour plusieurs heures, elles en profitent pour régler leurs comptes. Sara se rappelle de tout ce qui concerne Kellerman (les flashback sont très bien faits et permettent de bien saisir le trouble dans lequel elle se trouve), et décide de se venger en tentant de l’étrangler avec le cordon de son pull. Cette scène est excellente, voire jouissive ; car, bien qu’on sache que Lincoln va empêcher Sara d’aller jusqu’au bout, il est très agréable de voir Sara reprendre enfin le dessus.

Michael et Sara ont une discussion sur ce qui leur permettent de tenir. Michael a la foi (honnêtement je le trouve un peu trop optimiste, tout ne peut pas s’arranger même si Lincoln est reconnu innocent et il ne retrouvera jamais sa vie précédente), Sara veut retrouver les assassins de son père, et elle est tombée amoureuse de Michael. Ils s’embrassent, on s’y attendait mais c’est très mignon. Leur train est bloqué par la police, ils s’en sortent avec une ruse prévisible mais sympa. On nous laisse avec le suspense de savoir à quelles informations la clé va permettre d’accéder.Kellerman

Kellerman : il comprend à la fin que les appels qu’il recevait de la présidente, étaient en fait passés par un agent de Kim, qui se servait de la voix de la Présidente. C’est vraiment une bonne idée, et quand on y pense c’est totalement évident et très facile à déduire mais j’avoue que je me suis faite avoir. Le barrage de flics aurait du me mettre la puce à l’oreille, et c’est le cas, mais je pensais que c’était la présidente qui tentait de le manipuler. Bref, Kellerman est apparemment de l’autre côté maintenant, et c’est très bien, c’est le seul qui a été capable de faire bouger un tant soit peu les choses. Et Kellerman qui découvre la supercherie de Kim permet d’effacer le rictus de ce dernier, et ça, ça fait plaisir.

C note : il prend le petit déjeuner dans un vague restau au bord de la route avec sa fille, qui est toute triste parce que quand même, sa maman est en prison. Mais là, manque de bol, un mec complètement défoncé arrive pour braquer le restau. C note l’aide, pour éviter qu’il y ait des blessés, mais refuse de rester jusqu’à l’arrivée de la police, bah oui, c’est un fugitif, et ça le dérangerait pas de retourner en prison mais quand même il y a sa fille, et il veut pas la laisser toute seule (c’est mieux pour elle d’être en cavale à 10 ans…). Quand le braqueur veut prendre une fille en otage avec lui, C note le met KO ; et tout le monde autour de lui le laisse s’enfuir avant l’arrivée de la police. Ca aurait pu être émouvant, si j’en avais eu quelque chose à faire de C note, et si cette histoire n’arrivait pas juste pour meubler, comme un cheveu sur la soupe.

T bag : pas grand-chose pour lui dans cet épisode. Il veut toujours créer une famille parfaite et pour cela il attache, enferme et menace femme et enfants. Mais bon, c’est traité de façon légère, décalée, et c’est parfois plutôt drôle : « I’ll go unlock the kids and make us all breakfast », et Robert Knepper est excellent. Mais il se rend compte que la famille reçoit tous les jours des visites et qu’il sera difficile de faire semblant ; il décide donc de partir.

Haywire : il est repéré par les hommes de Mahone, à cause de l’homme qu’il a tué dans l’épisode précédent. Mahone libère Bellick, et en fait, mais pas officiellement, un agent, pour qu’il soit celui qui se salisse les mains à sa place. Bellick me fait un peu l’effet du ‘bouffon’ de la série. C’est une grosse brute pas très maligne et souvent ridicule, mais il arrive toujours à retomber sur ses pattes. Bref, il retrouve facilement Haywire, appelle Mahone qui, sous les ordres de Kim, le pousse à se suicider, seule issue pour échapper à la prison. C’est dommage qu’Haywire soit mort ; j’ai toujours pensé qu’il pouvait être le dernier en vie à la fin, tellement il était déconnecté par rapport aux autres, et n’avait aucune réelle importance dans l’histoire. Mais la scène finale du dialogue avec Mahone et de son suicide ‘encouragé’ était très belle et très bien filmée, et la musique bien choisie. Haywire, le troisième à tomber…

On avance un peu sur l’histoire principale, T bag stagne mais est amusant, C note est à passer en avance rapide et on dit adieu à Haywire.

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